L’humanisme avait placé l’homme au centre de toute chose à une époque où dieu était omniprésent. Après s’être décorsetée de la théocratie, la société est arrivée au firmament du libéralisme en rejetant le communisme et le fascisme, deux autres systèmes qui voulaient assujettir l’individu.
Seulement jusqu’où, la démocratie, la liberté, l’hédonisme, peuvent aller sans compromettre l’équilibre général des besoins et des aspirations de chacun ? C’est ici en répondant que vous placez le curseur entre l’individualisme, née de l’humanisme, et l’intérêt général qui sous-entend contraintes et limitations de l’individualisme. Ce dilemme nous l’avons par exemple dans la "traque" des chômeurs : jusqu’où la société peut-elle aller avec un chômeur entre son bon vouloir et la contrainte de trouver un emploi ?