Le titre et l’article visent manifestement à cacher la vérité sur le contenu du film lequel raconte la démarche du héros cherchant à voir, 20 ans après, la vérité sur les massacres qu’il a été amené en tant que jeune soldat, à cautionner. Vincent Delaury trahit donc l’œuvre, les victimes et par le titre menteur qu’il a choisi, il trahit l’humain. Il peut cacher le contenu du film, il n’effacera pas les crimes relatés et l’inhumanité des bourreaux et de leurs complices.