Le jour de la mort de Cloclo la seule oraison funêbre à laquelle il eut droit dans le bureau d’étude où je travaillais à l’époque c’est un collègue qui l’a prononcée, il a dit : " Bon maintenant il ne reste plus quà apprendre à Mireille Mathieu à mettre les doigts dans les prises !"