C’est indéniable, mais puisqu’il est aussi indéniable que la question de l’opium et de l’héroïne n’est pas une révélation d’aujourd’hui, comment l’Europe peut-elle accepter de payer un tel prix une place de second rang dans son désert des Tartares ? Le partage des dépouilles a-t-il été déjà décidé entre égaux ou ne sommes nous que les troupes auxiliaires du conquérant impérial ?