Il me semble que le mot « réforme » devrait lui aussi être réhabilité. Jusqu’à ces dernières années, « réforme » signifiait un changement en vue d’obtenir un progrès, une amélioration. Le sens était positif.
Aujourd’hui, il apparaît que l’usage de « réforme » soit utilisé -et compris- par le plus grand nombre comme un changement négatif, une atteinte aux « avantages acquis ».
D’où une impossibilité totale de réformer quoi que ce soit puisqu’immédiatement ce mot provoque une levée de boucliers ; chaque groupe corporatisté se sentant immédiatement menacé.