Je vous remercie Claude pour votre très complète participation. Avant de me plonger dans vos nombreux liens, je tiens à faire part de de ma sainte-thèse du problème. Notre société fabrique beaucoup plus de poisons que de remèdes efficaces pour s’en protéger. Il faut parfois dix ans pour constater les effets pervers de telle ou telle composant chimique introduit sur le marché. Le coût pour s’en défaire est nettement supérieur à l’étude en laboratoire du remède possible. Ce qui veut dire que nous n’avons plus les moyens de nous prémunir contre les risques d’une telle substance, mais juste le moyen de nous y accoutumer à l’aide de cette petite antidote quotidienne. ce choix mène à complexifier encore notre constitution organique qui elle même entraine la naissance de parasites encore plus résistants devant lesquels il va être encore plus difficile de combattre.
Les constituants les plus simples pour la maitrise de la santé sont l’air sain et l’eau pure gratuites. Non seulement ils sont tous deux en voie de disparition, ou en recul-avnancé, mais en s’accouplant au monde financier, le monde médical ne garantit nullement, ni la santé publique pour tous, ni sa propre indépendance personnelle, empreinte universelle de son éthique. En somme, le monde médical se trompe de lièvre...mais le monde financier le blanchit .