Paul Villach : " La société militarisée rend aveugle ! Il ne faut pas oublier que Fausto l’est devenu en jouant stupidement avec une grenade (elle non plus n’était pas à blanc !). Il se croit de la race des seigneurs. Et il ne faut pas moins de ce voyage de Genova à Napoli en passant par Rome pour découvrir et confier à sa compagne, échoué après le suicide raté sur une paillasse dans un cabanon sur les pentes du Vésuve : "Je ne suis pas un lion !"
Extraordinaire désintoxication d’un être tombé dans la cuve d’un militarisme stupide et qui se découvre un simple mortel vulnérable. "
Bien vu !