J’adhère totalement à votre analyse.
Votre remarque sur l’état d’esprit des Européens de l’Est est très pertinente.
On a nécessairement pas le même ressentiment quant à la nécessité ou pas d’une alliance avec les USA lorsque l’on a la Russie à ses frontières après en avoir subit le joug pendant la moitié du XX siecle (sans oublier les siècles précédents), que lorsque l’on en est à 4000 km.
Et celà synthétise bien la difficulté d’une position européenne "commune".