Comme dirait l’autre, "les faits sont tétus". Votre article m’amène à plusieurs réflexions :
- ce n’est pas la première fois que l’INSEE démontre sa flagornerie vis à vis du pouvoir politique (il a fait de même avec la gauche). Ce constat fait, pourquoi continuer à financer un organisme qui a démontré sa capacité à ne pas remplir la mission qui lui est confiée ?
- si les français ne sont pas des feignasses, pourquoi réformer les 35 H, si ce n’est par pure idéologie, bien loin de la réalité économique du pays ?