@ Sisyphe
Vous avez à demi-raison : pour ce genre d’individu sans éthique (quoiqu’il proclame le contraire à plein poumons), tout ce qui lui permet de se vendre et de vendre ses maîtres est bon à prendre, y compris la critique la plus mordante.
Et à demi-tort : si on se contente de l’ignorer, les masses qui ne se préoccupent que de ce qui fait du bruit n’entendront que son roulement de tambour, et plus nos sifflets.
Tiens, est-ce qu’il faut arrêter de critiquer Sarkozy parce que c’est encore une façon de parler de lui ? (suggestion gracieuse pour un article de fond. Qui s’y colle ?)