bonjour Philippe : "Républiques bwananières". Excellent, comme d’hab.
Cet article sort très opportunément (?) au moment du procès des faucheurs de maïs. Monsanto peut continuer. Ceci dit, ils n’auront jamais assez d’argent pour faire face aux procès pour crime contre l’humanité qui leurs pendent aux nez.
Ce qui me fait dire : plus les prédateurs accumulent des profits, plus ils ont peur de la catastrophe. Plus ils ont peur de la catastrophe, plus ils ont besoin d’argent, c’est leur assurance sur l’avenir. C’est pourquoi il est plus qu’urgent de briser ce cercle vicieux.