Il n’est en effet pas admissible que les très riches soient dispensés de l’effort de solidarité nationale. Alors que les autres apportent leur part :
- Les pauvres : par le gel de la prime pour l’emploi, cumul RSA salaire plafonné à 62 % (alors que 65 % étaient prévus), évolution du RMI inférieur à celui de l’inflation, acceptation d’emplois précaires ou partiels, devoir d’accepter le 3ème emploi proposé sous peine de radiation...
- Les classes moyennes : par la taxe sur les revenus fonciers et le capital.
Le paquet fiscal ne constitue pas une excuse valable car il ne concerne que les impôts directs. Une forme de contribution indirecte des très riches pourrait être envisagée. Les gens comprendraient mal qu’il n’en soit pas ainsi et le feraient savoir au moment de passer aux urnes.