Nationaliser, certes, mais en changeant la règle du jeu : l’Etat ne privatise pas les banques, ils les confisque, puis efface les dettes pourries au cas par cas (histoire de garder aux pauvres travailleurs baisés un toit sur la tête, et d’envoyer sur les roses les pauvres spéculateurs baisés), et enfin, il émet, pour les besoins de l’économie réelle, du crédit à taux zéro, voire des subventions directes et sans condition.
Bref, on en revient au même : le Peuple (à travers sa représentation institutionnelle) récupère son droit de battre monnaie.