@ Sisyphe, vous devez sans doute faire référence à Catherine Millet. J’aime bien Amélie Nothomb, mais les dialogues me semblent parfois artificiel et le thème récurent de l’amour qui s’exprime dans l’excès et le sadisme, se révèle à certains moments lassants. J’aimeria beaucoup voir Nothomb se plonger dans un style plus naturaliste avec une trame et de situations plus vraisembables. J’avais beaucoup apprécié "Métaphysique des tubes" ou encore l’excellentisime "Stupeurs et tremblements" quand elle est dans une inspiration autobiographique, Nothomb est sensationnelle. Elle est effectivement à cent lieues de celles dont l’intérêt se résume à "Ce matin, j’ai pris une tisane au café de Flore, ce soir j’ai une partouze, rue du Bac, en attendant, je vais aller dégobiller dans la baignoire"