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En réponse à :


timiota 26 septembre 2008 00:44

Je n’ai eu que le temps de parcourir en diagonal.

Le DSM IV reflète sans doute des tendances mercantiles et de mise en tutelle chimique de cerveau disponible. A fouiller certes..
(d’ailleurs personne n’a écrit le mot "ritaline" jusque là, tiens, n’est-ce pas un cas d’école intéressant ?).

Mais, en positif pour le DSM IV , s’agissant des troubles autistiques et TED (troubles envahissant du dvlpment) associés, les psychanalistes français ont fais bien des dégats (Bettelheim : l’autisme, c’est la faute à la mère) alors que avec le pragmatisme anglo-saxon, le DSM IV a permis de faire la part des choses. Au Canada, c’est aussi beaucoup mieux qu’en France, on ne cherche pas à faire faire des thérapies d’inspration psychanalitiques dans les cas de TED et d’autisme, on fait des apprentissages plus appropriés, qui ne sont pas la panacée, mais évite la tentative de la camisole chimique (le film de Sandrine Bonnaire...).

Tout cela necessiterait davantage de témoignage et de fouiller la question. Sur les forums spécialisés, les pro et anti psychanalise s’engueulent joyeusement. Je dois avouer que la lecture du petit livre de Pommier sur la genèse des premières "analyses" freudienne me ferait dire qu’on n’est surement pas très loin de la pseudo science (on ne peut pas démontrer que c’est faux...)




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