Concernant la mouvance OAS, il n’y a pas eu un fusillé mais quatre:le colonel Bastien -Thiry, le lieutenant Degueldre, le sergent Dovecar et Claude Piegts.
Et s’il n’en avait tenu qu’à De Gaulle , il y en aurait eu bien plus.
Je n’oublie pas non plus aussi que les belles consciences hostiles à la peine de mort ne se sont à l’époque guère fait entendre .