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Telep Nsoga 3 novembre 2008 20:56
Chantal Brevaux n’est ni intellectuelle, ni bienfaitrice, encore moins rotarienne :
 
Dans ses multiples diatribes, Chantal Brevaux qui semble châtier l’illettrisme d’un Aimé Mathurin Moussy, est loin d’être une gardienne de la pensée, un érudit, un docte. Parce qu’elle a transgressé le préalable qui caractérise l’intellectuel : la conscience.
Rabelais disait : « science sans conscience, n’est que ruine de l’âme ». Nous allons vous démontrer pourquoi nous trouvons que sa conscience et sa science nous inquiètent :
1°) – Elle ignore les contours de la liberté, du respect et de la tolérance, qui sont les socles sur lesquels repose l’intellect ;
 a) La liberté signifie respecter ses droits et devoirs, Madame Brevaux dans ses libéralités linguistiques, n’a fait qu’état de ses droits, elle a balayé d’un revers de la main ses devoirs. Par ailleurs, son premier devoir est le respect de la vie privée. Par conséquent, bien qu’ayant des preuves à charge, tant que la justice n’a pas statué, M Moussy jouit de la présomption d’innocence.
 b) Le respect, le premier des respects c’est de s’accorder à soi-même une dignité. La dignité suppose, la maîtrise de soi qui est une caractéristique des grands chevaliers. Madame Brevaux n’a pas respecté la charte d’Agoravox, qui stipule que, les commentaires doivent se référer exclusivement à l’article sus nommé. Madame Brevaux a violé cette disposition en voulant s’imposer dans un débat citoyen. Ses pulsions ont pris le dessus sur la raison. N’ayant pas pu respecter les rudiments de la bienséance, mériterait-elle encore notre respect et crédit ?
 c) La Tolérance, Voltaire disait : « la tolérance est le début du respect ». Madame Brevaux, philanthrope et humaniste à ses heures perdues, n’a pas pu supporter comme les « Bons » de ce monde, les souffrances de la chair, la maladie. Elle ne peut pas s’accoupler de quelqu’un qui n’a pas les mêmes gênes sanitaires qu’elle. Donc, tous les handicapés, sidéens, hépatiques, doivent être éradiqués de la terre, de peur de lui transmettre leurs tares… Madame Brevaux a le monopole du cœur, et non celui de la tolérance ! Je crois qu’elle nous ramènerait d’ici peu une proposition de loi, instituant la peine de mort.
 
Le Rotary en question :
Nous sommes en droit de nous demander, qu’est-ce que c’est que l’humanitarisme, le progrès et l’impact de ces grosses machines de bienfaisance comme le Rotary, qui sont par essence le lieu d’acquisition de certaines valeurs morales, ont sur le comportement de leurs adhérents ?
Peut-on du simple fait d’appartenir à ces officines élitistes, d’avoir la mainmise sur la charité ou de s’ériger en leur porte-parole ?
J’ai lu les écrits de Madame Brevaux, j’ai interrogé ma conscience, et, finalement j’ai compris qu’elle fait partie de ces « riches » qui entrent dans les obédiences, églises, associations ; arrivent sur le tronc, versent de grosses sommes d’argent, pour jouir du respect et de l’admiration. Elle veut s’affirmer et se faire respecter parce qu’elle fait du « Bien ». Ce qu’on appelle « Bien » est-il si vantard, orgueilleux et vaniteux ?
Moi, j’ai besoin qu’on me fasse du bien. Quand on m’aura fait ce bien, qu’on n’en parle pas. Moi, j’aimerais parler moi-même du « Bien », pour qu’il puisse trouver tous ceux qui dans le silence et la déchirure attendent, qu’il leur rende visite. Alors, tous les pauvres de la terre et moi, nous unirons pour chanter du « Bien » !
N’est-ce pas ?
 Telep Nsoga, Illettré
 Paris

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