A George Cake :

Ce n’est pas mon "point de vue", ce sont les faits. Vos constatations sont simplement fausses, voire mensongère.

« Celui-ci est un spécialiste des textes diffamants et insultants (cf : son appel à détester une ministre italienne, les insultes gratuites faîtes à Sarah Palin ou John McCain, etc...) »
Ça c’est un point de vue. Quel est le rapport avec le sujet du texte ?
un « spécialiste » des textes « diffamants » et « insultants » fait partie du vocabulaire de ces commentateurs dont je parlais.

« ainsi qu’en perpetuelle contradiction : sur son article sur Ahamadinedjad il demande l’avis des lecteurs, »
Et alors ? Ou est le problème ?
« puis lors de ce débat refuse de donner lui-même son avis sous pretexte qu’il n’est pas un leader d’opinion. »
Un débat ? Quel débat ? Voir le fil tout simplement.

« Pour lui, toute critique négative d’un de ses textes est un affront personnel auquel il répond par des insultes et/ou des mensonges. »
C’est faux, il réagit mal quand on lui parle d’un autre sujet que le texte. ( style : un article écrit il y a deux ans sur un autre sujet, il faut drôlement bien connaître son blog pour aller chercher des articles qui ont fait polémique à l’époque ! )

« En contradiciton perpétuelle avec lui-même (se proclame pour la liberté d’expression totale mais censure sur son blog comme ici) »
De deux choses l’une : ou vous étés honnête, et constatez avec étonnement ce fait, ou si vous faites parti de ces « fameux commentateurs » vous oubliez de dire que la modération n’est effective que depuis quelques semaines à cause d’une quantité invraisemblable de commentaires d’insultes, de flood et de spams envoyés jours et nuits par ces « fameux commentateurs ». 

« il tente toujours de se justifier en méprisant même ceux qui le citent pour argumenter leurs dires »
Mais quel est encore une fois le rapport avec le texte ?
Depuis quand dans agora vox, on commente les textes d’un blog d’un auteur au lieu de commenter le texte proposé à ago ?

« Ce site étant un site à forum, il est bien normal que bien des lecteurs acceptent difficilement la présence d’un tel specimen parmi eux, puisqu’il ne respecte aucune des règles permettant un dialogue sain et sensé. »
Spécimen. Encore ce vocabulaire d’exception utilisé par ces « fameux commentateurs ».
 
« J’ai d’ailleurs rarement lu des posts insultants à son égard, mais plutôt des posts demandant des explication rationnelles, auxquels l’auteur semble incapable de, puis réfractaire à, répondre raisonnablement.
Ces remarques lui ayant été faites à maintes reprises, et lui persistant dans son attitude méprisante et hautaine, il est donc fondé d’intervenir pour exprimer notre désaccord avecune telle attitude qui n’apporte rien d’agréable ni de constructif au débat proposé par ce site. »
Du bla bla politiquement correcte et poli pour dire tout simplement à l’auteur de dégager.
Il est vrai que ces « fameux commentateurs » encore une fois, n’utilisent pas de gants d’habitude, surtout sur son blog et ailleurs. Là on aurait un véritable aperçu de ce que l’on entend habituellement par « insultes ».
Mon commentaire précédent est très clair et direct, je rajoute la suite pour que cela soit plus clair ( j’utilise cette étonnante technique qui consiste à aller chercher sur le blog du commentateur des arguments pour critiquer son commentaire ) :
 
« Cet individu ( Tristan Mendès France ) n’a pas commenté sur la crise financière, économique et sur les dégâts sociaux et humains qu’elle engendre et qu’elle engendrera au carré dans un futur proche.
Pardon, il a fait un commentaire aujourd’hui :

http://blog.mendes-france.com/2008/10/09/le-seul-pays-a-profiter-de-la-crise-financiere-mondiale/
Ce genre de contribution plombe le genre humain. Et c’est pitoyable. »


Sur le blog de Allain Jules j’ai rajouté à la suite des ces commentaires :

« A la lumière de ces commentaires sur Ago, cette profonde analyse d’ aujourd’hui :

http://blog.mendes-france.com/2008/10/10/crise-financiere-et-revival-antisemite/

CQFD !!! »

Je réitère, mon commentaire précédent n’est pas un point de vue, mais des faits vérifiables.