Monsieur,
Vous sentez ce que vous sentez, mais une chose semble sûr, c’est que vous omettez complêtement de considérer que le cinéma a un coté profondément populaire.
D’autre part, permettez-moi de parler des choses qui me plaisent et pas forcément uniquement des sujets qu’il vous plairait de me voir développer.
Vu la culture dont vous semblez jouir, je me doute, de plus, que vous n’attendez pas après moi pour une analyse très fine d’un film de Kurosawa ou de Jacques Audiard. Vous seriez pourtant surpris, je pense, mais là n’est pas le débat.
Très cordialement,
Alain Robert