Concernant la phrase suivante : "il est dorénavant établi qu’un gène ne code pas exclusivement pour une seule protéine, mais potentiellement pour plusieurs protéines"
Elle est tout-à-fait juste. Ce que pointe GFP est l’utilisation de gènes bactériens qui permettent d’éviter l’épissage alternatif.
A ma connaissance, l’industrie agrogénétique est loin de vouloir se contenter d’utiliser des gènes bactériens.
Et étant donné les OGM actuellement commercialisés proposant aux consommateurs de manger des céréales arrosées d’herbicides + contenant à l’intérieur une toxine dont l’expression est instable au sein même de la plante (prouvé pour le coton Bt), cela n’est pas vraiment pas très engageant.