Merci de cet unique commentaire !
J’ai volontairement omis les victimes, car, c’en est d’ailleurs la définition, elles subissent et ne sont pas acteurs.
La victime, quand il ne s’agit pas d’un enfant, (cf. le petit Gregory et d’autres, inutile de les lister) n’apparaît que très tardivement comme personnage à la fois dans la presse écrite que ans les journaux télévisés. Or, depuis quelques années, elle devient un personnage « intéressant » car médiatisable, cela du fait d’un changement d’orientation psychologique de l’opinion publique vers une victimisation de la société.
J’avais d’ailleurs écrit sur Agora vox sur ce thème : Victime, Piège ou métier d’avenir ?
Quant à moi-même, bien sûr, je ne m’exclue pas. Il m’est arriver de regarder un journal TV, de lire des journaux.
L’attirance morbide concerne chacun d‘entre nous, tout est une question d’intensité dans le voyeurisme, disons que je le suis à minima