Commentaire très intéressant, à mes yeux. Si j’oppose Démocrates aux Conservateurs, c’est sur le fondement à la fois des écrits des conservateurs historiques de la pensée politique et de l’actualité : le conservatisme ne peut se développer que pour autant que la démocratie est muselée, controlée, manipulée et écartée. C’est l’absence de démocratie qui autorise le statu quo institutionnel, moral, juridique, etc... Que par la suite, il soit tout aussi pertinent de dresser le clivage Réformateur/Conservateur, ou Démocrate/Théocrate, biensur, mais ce sont, pour moi, des déclinaisons particulières de celui que je propose.