La relocalisation est sans aucun doute une démarche essentielle en terme de solution à la crise mondiale globale dans laquelle nous entrons. Mais ce serait dommage de la réduire en la faisant entrer dans le clubs des "ismes."
Face à la profondeur et gravité de la crise mondiale nous avons besoin d’une réorganisation globale de nos sociétés et ce à tous les échelons locaux, nationaux , européens, mondiaux. On ne pourra se contenter de "localismes" ici ou là en opposition avec les autres échelons.
Sans aucun doute le changement ne viendra pas d’en haut , mais de la base et des mobilisation locales ; le local est donc d’abord un levier pour le changement global.
Le tout début de ce processus de changement doit sans doute s’inscrire au départ dans le lancement , à cet échelon local ,de réflexions et recherches collectives participatives orientées vers la mise en oeuvre d’une nouvelle société.