Je me souviens d’un temps pas si lointain, à savoir d’ailleurs s’il est vraiment révolu où les fonctionnaires vous accueillaient à coups de fusil sans même un sourire crispé, coincés entre la pause café, la pause pipi, la pause cigarette (non, celle-là n’est pas bien vieille). Alors, quand on me parle du service public, j’aimerais que ce dernier ait vraiment conscience du nom qu’il porte.