Analyse très juste, hélas...
Je crains qu’au delà des indignations et des sentiments de révolte personnelles, la machine verrouille suffisamment les choses pour empêcher toute rébellion concertée et organisée.
Du coup, il est à craindre, de plus en plus, des actions extrèmes, dont l’appareil profitera pour enclencher le cycle de répression d’un état de plus en plus policier.
Le web ne servirait plus que de défouloir, sans trop de danger pour ceux qui le mettront de plus en plus sous contrôle.
C’est pourtant, encore (jusqu’à quand ?) le rare moyen d’essayer d’éveiller les consciences, et de mobiliser les citoyens.
Le pire n’est jamais sûr, pour peu que les structures d’une solidarité se mettent en place.
On va continuer à pousser le rocher...