Je suis en plein accord avec cet article (comme d’ailleurs le précédent sur la laïcité). La résistance, c’est d’abord une pratique citoyenne autant que politique qui a besoin de courage et de détermination. Je n’aime pas beaucoup la gauche d’incantation moi non plus, mais c’est bien là la limite des démarches participatives admissibles par une partie de la gauche : à un certain moment, après la dissertation de contestation, quelle est l’action en conclusion ?