"3 fautes d’orthographe ou de grammaire par ligne, voilà le triste constat de la capacité rédactionnelle d’un bachelier."
Faut-il s’en étonner quand on sait qu’ils n’ont jamais bénéficié, dans ces matières, d’un véritable enseignement ? Tant que certains considèreront que l’école ne doit plus être un lieu de transmission du savoir, mais un lieu de "communication", la situation ne risque pas de changer.
Mais si c’est ce que les parents demandent pour leurs enfants, pourquoi les décevoir ?