@Oudeis
Cette activité de banque islamique ne me semble nuire à quiconque. L’Etat francais n’a doncc aucune raison légitime de l’interdire.
J’ai lu un des liens sur le principe de la banque islamique. Selon ce que j’ai compris, la banque islamique achète et livre à l’emprunteur les produits dont il a besoin. Ensuite la banque et son client partagent les bénéfices. Ce procédé oblige au banquier à devenir investisseur, de fait, dans l’entreprise de son client. Ce schéma peut convenir à un petit nombre d’entreprise. Mais il me semble inadapté à la diersité des besoins de prêts des entreprises.
Tout comptable expliquera qu’il n’est pas possible de déterminer le benefice comptable avant d’avoir fait la comptabilité sur une longue période. La comptabilité analytique est un peu arbitraire et n’est pas destinée à déterminer un montant des bébéfices nets à partager. Je ne vois donc pas comment la banque prêteuse peut reclamer sa part de benefice avant le bilan annuel de l’entreprise.