Les penchants suicidaires des socialistes sont apparemment irrésistibles.
Ils doivent pourtant bien voir qu’ils ne disposent d’aucune personnalité capable de faire le poids face à Sarkozy. Inutile d’espérer gagner sur ce terrain-là : seul un programme convaincant pourrait permettre la victoire en 2012, et pour ça il faut un travail collectif de longue haleine.
Autant dire que le PS ne reviendra pas aux affaires de sitôt, sauf peut-être comme auxiliaire de Bayrou.