Fergus, je concède volontiers que mon article n’est pas exhaustif et qu’il est un parti pris pour Bach. Haendel, dont la musique était assez simpliste, plus populaire, plus commerciale (le Clayderman de l’époque ?) (1) a néanmoins composé, par exemple, cette oeuvre très mélancolique : suite pour orchestre n°3 en ré majeur.
(1) Regardez là ! on en dit du mal aussi...