" Le deuxième réside dans la volonté de maîtrîser un risque sanitaire et surtout d’organiser un marché. C’est l’objectif principal du GNIS, " formidable, Yann,
Nous avons voté pour le changement. Ainsi, nos législateurs accusent les risques sanitaires supposés par l’absence d’études sur les plantes anciennes, et légalisent les ogm au regard d’études produites par monsanto.
C’est à dire que le " principe de précaution " servant à mettre en doute les plants anciens, ne s’applique pas aux ogm. Cela sous-entend donc immanquablement que la " loi du marché " est devenue maitresse en matière de législation en complet désaccord avec la population contribuable.
Ces mêmes législateurs, soutiens actifs et puissants de la filière gastronomique, qui utilise et pratique pleinement l’usage et la diversité alimentaire de haute gamme, sont en train tout bonnement de privatiser la nature, et ceci au détriment du peuple qu’il soumet au " marché maquedo ".
La loi du marché ne s’impose pas auprès de ceux qui sont en dessous, car il ne se nourrissent que leur propre production locale, ni ceux qui sont au dessus...puisqu’il la prodigue pour ceux qui sont dedans et prisonniers de celle-ci...
les législateurs, comme les architectes qui n’habitent pas les maison qu’ils dess(t)inent, déclarent nos vieilles valeurs illégales. Nous pourront bientôt être emprisonnés pour avoir cultivé une plante naturelle...