Je vous accorde qu’il est toujours intéressant d’aller chercher en amont les causes réelles d’un problème. Je vous propose donc de ne pas vous arrêter aux changements de politique publique que vous citez, mais de nous expliquer aussi pourquoi ces décisions ont été prises. A moins que vous ne craigniez que ce que vous qualifiez de causes majeures des crises de 29 et d’aujourd’hui n’apparaissent dès lors plus que comme des réactions, sans doute tardives, peut-être maladroites, à l’évolution "naturelle" du capitalisme vers toujours plus de marchés et toujours moins de contraintes sociales et environnementales ?