Bonjour,
Merci pour vos encouragements.
Bien entendu, je n’ai pas donné toutes les références qui m’ont poussé à formuler ces hypothèses.
L’oxydation chimique lente du glutathion et des thiols en général par l’AZT a été démontrée in vitro en 1988 par Handlon et Oppenheimer et confirmée en 1994 par Reardon et Crouch.
La vitesse de réaction est de l’ordre de 10^-3 mol-1.s-1, ce qui est très faible, d’où le terme "oxydation lente", ce qui peut expliquer l’action diphasique de l’AZT, améliorant l’état au départ du traitement, puis hâtant une évolution fatale par la suite.