Vous pouvez imaginer toutes les métaphores que vous voulez, il n’en reste pas moins que vous vous trompez : une langue véhiculaire reste une langue seconde, elle ne remplace pas les langues nationales comme l’a fait l’euro pour les monnaies, c’est à la fois impossible et absurde.
En Chine, plus d’un milliard de gens peuvent se comprendre grâce au mandarin malgré leurs très nombreux dialectes, langues c’est pareil, alors que dans notre petite UE, on ne comprend pas souvent son voisin, et quand on le comprend c’est souvent très mal...