Ces ’susceptibilités policières’ ne datent pas d’hier - il y a vingt ans, en accompagnant au commissariat un copain anglais dont la voiture venait d’être volée, je me suis fait engueuler par le planton de service car je traduisais la procédure au copain en anglais et qu’il "n’aimait pas qu’on cause étranger devant lui".
TOUS les métiers dits ’de sécurité’ semblent maintenant animés d’une réactivité à fleur de peau - vigiles, policiers, à la moindre bousculade ou manifestation.
C’est du dressage - et si les autorités sanctionnaient automatiquement les abus de pouvoir, il n’y en aurait pas. Mais comme le système actuel est en lui-même un énorme abus de pouvoir (pour ne pas dire usurpation), on peut rêver...