Je crois que ça se joue aussi sur un plan plus intime : c’est à l’adolescence -en général - que l’on ressent les choses avec le plus de force - l’amour, la musique, la révolte, etc....
Tout ce que l’on peut découvrir après n’aura jamais plus le même impact.
Plus ça va, et plus j’ai l’impression qu’il n’y a jamais eu de mauvais époque (musicalement parlant) : si l’on trouve la musique moins bonne à un moment, c’est juste que l’on a plus de mal à s’y connecter.