Si l’on ajoute à ça les fraudes aux cotisations patronales, les allègements permanents de charges (avec l’efficacité qu’on connait !), on arriverait à boucher le trou de la sécu, combler les déficits des hôpitaux publics, etc.
Il parait qu’un certain Président s’est porté volontaire pour "moraliser" le capitalisme.
C’est mal parti sur les salaires et les dividendes de ses protégés.
On s’aperçoit surtout que chaque "idée’ de notre bon Sarkozy vise surtout à alléger la note des entreprises au dépend, évidemment, du secteur public, qui, si l’on en croit l’Uème Pet, coûte trop cher.
Comparaison : les comptes en banque de Dassault et d’un fonctionnaire.