Le peak oil, c’est une théorie fumeuse brandie par des agitateurs écologiens dans leur délire technophobique. Dans la pratique, du pétrole, on en a brûlé le tiers environ, et on n’en manquera pas avant une bonne quarantaine d’années. D’ici là, j’ai bien l’intention d’être mort et les gens de cette époque règleront le problème s’il se pose, ce qui est loin d’être certain.