Ce n’est pas une mauvaise idée car nombre de jeunes ont des idées sur le mouvement et sur ce qui pourra se faire après. En septembre ? La lutte des classes - pas les mêmes bien sûr que celles des établissements scolaires - continuera mais sans doute pas seulement dans les Antilles. D’ici là la crise qui ronge le capitalisme aura fait des ravages (banqueroute de la Grande-Bretagne dans quelques semaines). Et on n’aura pas le choix que de se prendre en main et de ne compter que sur nos propres forces.