@Gaëtan. L’autocritique américaine, au cinéma, ne date pas d’hier : "La Flèche brisée", "La Prisonnière du désert", de nombreux westerns éveillaient déjà sur la question raciale. Mais les Américains (les bons) sont plus narrateurs que donneurs de leçons. Ils vous entraînent dans une histoire, vous amusent, vous émeuvent, à vous d’en sortir meilleur.
Le cinéma français actuel devrait en prendre de la graine, au lieu de se résumer à des déclarations d’intention et à des scénarios indigents.
Ce soir, sur Arte, la guerre de Sécession. D’après Ken Burns, elle vient de finir avec l’élection d’Obama...