La Ville dispose pourtant d’une arme : l’Épicerie sociale implantée dans le quartier Rome Saint-Charles. Mais celle-ci ne couvre pas la totalité des besoins alimentaires. « Pour pouvoir bénéficier de cette aide, nous prenons en compte les ressources de la personne et nous déduisons les charges courantes. Mais par souci d’équité, nous ne tenons pas compte des dettes. Nous calculons alors un reste à vivre par personne, rappelle Christine Lhomme, directrice du CCAS. Avec ce reste à vivre, les personnes achètent les aliments à l’Épicerie sociale qu’elles ne paient que 10 % du prix. Ce n’est qu’un accompagnement. »
des magasins reserve aux pauvres !
http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/246234/Le_retour_en_fo rce_des_Restos_du_c_ur