@ Loule
J’ai du mal à bien comprendre votre commentaire.
Le Yémen a besoin de temps, de calme et de paix pour avancer. C’est aussi par des contacts avec l’extérieur qu’il pourra se transformer à son rythme, contacts qui deviennent beaucoup plus rares depuis le lancement de cette campagne d’attentats.
Les femmes yéménites n’ont certainement pas une condition enviable vue avec nos yeux d’occidentaux mais elles n’auraient vraiment rien à gagner si le pays devait se refermer sur lui-même.
Un pays ne peut pas disparaître. S’Il disparaît de nos médias et de nos centres d’intérêt ses habitants continueront à y vivre dans une misère un peu plus noire et dans des conditions encore plus difficiles.