Quelque chose m’échappe.
Deux types se rencontrent, sans témoin, à un carrefour.
Ils en font chacun une description différente et contradictoire.
Mais étonnamment vous en concluez à propos de Finkielkraut : pathétique.
Et vous vous prenez pour un journaliste ?
S’il y avait un peu de déontologie et d’honnêteté dans ce métier, il y a belle lurette que vous n’auriez plus de carte de presse.