D’autant plus risible que Galbraith, un spécialiste de la crise de 29, prédit que même sans "un monde dirigé par des banquiers" (on constatera qu’au G20, il n’en est même pas question), même sans ce "ce fatal renflouement des banquiers et les coupes dans les budgets des programmes sociaux", il faudrait "disons vingt ans, voire plus".
G20, la farandole de l’incompétence, et en plus il nous prenne pour des billes.