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En réponse à :


zoumzoum 1er avril 2009 17:58

 Mais on peut tout de même donner foi aux témoignages des rescapés ? Non ?


visiblement non

voici certaines confessions faites par les plus éminents spécialistes et historiens autorisés de la questions.



le juif Léon Poliakov

en 1951 il écrivit :

 

« Aucun document n’est resté, n’a peut-être jamais existé  » (Bréviaire de la haine, Paris, Calmann-Lévy, 1974 [1951], p. 171). "

nous avons donc déjà une 1er confession plus que surprenante.

on parle ici de la plus gigantesque machinerie meurtrière de l’ histoire ; machinerie criminelle qui a causé ,d’aprés la thèse officielle,6 millions de victimes.

il me semble difficile qu’une telle machinerie puisse se faire sans plan,ni ordre,ni budget et encore moins par l’opération du saint esprit...et pourtant raul hilberg lui avance la thèse de la télépathie...ne riez pas c’est véridique

raul hilberg (6 juin 1926 - 4 août 2007) est un historien et politologue juif américain d’origine autrichienne. Spécialiste n°1 de la Shoah de réputation mondiale

en 1983 (Newsday, New York, 23 février 1983, p. II/3). il admît que :

 

"ce qui commença en 1941, ce fut un processus de destruction sans planification préalable, sans organisation
centrale par aucune agence. Il n’y eut pas de projet et il n’y eut pas de budget pour ces mesures de destruction.
Celles-ci furent prises étape par étape, une étape à chaque fois. Ainsi fit son apparition non tout un plan qui fut
exécuté
, mais une incroyable rencontre des esprits ,un consensus dans la divination
télépathique
au sein d’un vaste appareil bureaucratique ."

23 ans plus tard raul hilberg confirme

octobre 2006 raul hilberg dans un entretien accordé au Monde déclara

 

« Il n’y avait pas de schéma directeur préétabli. Quant à la question de la décision, elle est en partie insoluble  :
on n’a jamais retrouvé d’ordre signé de la main d’Hitler, sans doute parce qu’un tel document n’a jamais existé. Je
suis persuadé que les bureaucraties sont mues par une sorte de structure latente : chaque décision en entraîne une
autre, puis une autre, et ainsi de suite, même s’il n’est pas possible de prévoir exactement l’étape suivante »

 

 

Christopher Browning

 

en 1987 il écrivît :


"il ne fallait pas plus d’une inclination de tête venant de Hitler pour donner « le feu vert » indiquant que le meurtre
de masse pouvait maintenant s’étendre aux juifs européens. Il ne s’agit là pas tant d’un ordre explicite que d’un acte
d’incitation […]. Comment se fit la communication, nous ne le savons pas et ne le saurons jamais"

(" Historians, Hitler and the Holocaust", communication délivrée à la Pacific University, Forest Grove, Oregon, mars 1987, p. 24,)

 

 

Florent Brayard

En 2004 il publia un ouvrage intitulé : La « solution finale de la question juive ». La technique, le temps et les catégories de la décision, Paris, Fayard, 640 p.

 

 

 

 

et pour finir je vais mettre une déclaration du frère de ce cher dany cohn bendit alias dany le rouge qui parfois devrait plutôt grandement balayer devant sa porte avant de venir faire le grand moralisateur,des grands moralisateurs comme lui qui se laissent tripoter par des gosses ...non merci

 

Jean-Gabriel Cohn Bendit

 

« Battons-nous donc pour qu’on détruise ces chambres à gaz qu’on montre aux touristes dans les camps où l’on sait
maintenant qu’il n’y en eut point »


voilà,des confessions comme celle-ci il en existe bien d’autre,j’aurais pu citer simone weil aussi qui a admis en 1983 qu’il n’existait aucuns témoins,ni preuvres matérielles (sic),dans ce cas si toutes les chambres à gaz homicides que l’on nous fait visiter ne sont pas des preuves matérielles alors qu’est ce que c’est ? ? ?

 

« On sait que le Führer n’a ni rédigé, ni signé un ordre de suppression des juifs, que les décisions – car il y en eut
plusieurs – ont été prises dans le secret d’entretiens avec Himmler, peut-être Heydrich et/ou Göring. On suppose que,
plutôt qu’un ordre explicite, Hitler a donné son accord à des demandes ou projets de ses interlocuteurs.
Peut-être ne
l’a-t-il pas même formulé
, mais s’est-il fait comprendre par un silence ou un acquiescement »

,né le 16 mars 1952 à Chamoson en Suisse, est un historien dont les recherches portent sur les idéologies, les mouvements et les partis politiques en Europe durant l’entre-deux-guerres. A partir de ses travaux sur la Seconde Guerre mondiale, il a tenté de définir les notions de violence de masse et de génocide.

 

phillipe burrin

en 1989 il déplore

 

« les grandes lacunes de la documentation » et il ajoute : « Il ne subsiste aucun document portant un ordre d’extermination
signé de Hitler. […] Selon toute vraisemblance, les ordres furent donnés verbalement. […] les traces sont ici non seulement
peu nombreuses et éparses, mais difficiles d’interprétation » (Hitler et les juifs / Genèse d’un génocide, Paris, Seuil, 1989 p. 13)

 

Arno Mayer

 

En 1988 il écrivît dans son livre La Solution finale" dans l’histoire (traduction publiée en 1990 avec une préface de Pierre Vidal-Naquet),

que

 

« les sources dont nous disposons pour étudier les chambres à gaz sont à la fois rares et peu sûres » (p. 406).

 

Jacques Baynac

le 3 septembre 1996, dans Le Nouveau Quotidien de Lausanne il déclare au sujet des chambres à gaz homicides

 

« l’absence de documents, de traces ou d’autres preuves matérielles »

 

puis ilconclut

 

"Pour l’historien scientifique, le témoignage n’est pas réellement l’Histoire, il est un objet d’histoire. Et un témoignage ne pèse pas lourd si aucun document solide ne le confirme. Le postulat de l’histoire scientifique, c’est, pourrait-on dire en forçant à peine le trait pas de papier(s), pas de fait avéré. (...) Soit on abandonne le primat de l’archive au profit du témoignage et, dans ce cas, il faut déqualifier l’histoire en tant que science pour la requalifier aussitôt en tant qu’art. Soit on maintient le primat de l’archive et, dans ce cas, il faut reconnaître que le manque de traces entraîne l’incapacité d’établir directement la réalité de l’existence des chambres à gaz homicides."

 

 

Yehuda Bauer

 

En 1992 il dît

 

« Le public répète encore, jour après jour, la sotte histoire (the silly story) qui veut que ce soit à Wannsee que
l’extermination des juifs ait été décidée »

Michel de Bouard né le 5 août 1909 et mort le 28 avril 1989, à Épron (Calvados)a été interné à Mauthausen. Professeur d’histoire du Moyen Age et, aussi, membre du Comité d’histoire de la deuxième guerre mondiale (Paris), il a terminé sa carrière universitaire comme doyen de la Faculté des lettres de l’université de Caen. Il fût membre de l’Institut de France

il déclara dans le journal Ouest France 2, 3 août 1986

« Où ai-je acquis la conviction qu’il y avait une chambre à gaz à Mauthausen ? Pas au camp en tout cas. C’est donc un
"bagage" que j’ai reçu après la guerre. C’était admis... »,.

" Je me trouvais déchiré entre ma conscience d’historien et les devoirs qu’elle me fait et l’appartenance à un groupe de camarades que j’aime profondément mais qui ne veulent pas reconnaître la nécessité de traiter ce fait historique qu’est la déportation selon les méthodes d’une saine Histoire.

Je suis hanté par la pensée que, dans cent ans ou même cinquante, les historiens s’interrogent sur cet aspect de la Seconde Guerre mondiale qu’est le système concentrationnaire et de ce qu’ils découvriront. Le dossier est pourri. Il y a, d’une part, énormément d’affabulations, d’inexactitudes, obstinément répétées, notamment sur le plan numérique, d’amalgames, de généralisations et, d’autre part, des études critiques(les éudes négationnistes) très serrées pour démontrer l’inanité de ces exagérations. Je crains que ces historiens ne se disent alors que la déportation, finalement, a dû être un mythe. Voilà le danger. Cette idée me hante."


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