@ Muadib
Ce que l’on découvre, dans ces deux articles publiés aujourd’hui sur le dernier ouvrage de Mr Bilger, c’est le portrait par lui même d’un homme aux ambitions déçues (il semble avoir souhaité être Garde des Sceaux) et dont l’accession au plus haut poste qu’il aurait pu atteindre dans son carrière aurait sans doute compensé la chute d’un autre Bilger, qui se fourvoya en d’autres temps.
Procès d’intention ?
Inévitable lorsquel’on évoque Mr Bilger car, de par son style louvoyant, il ne nomme jamais directement les choses ou compense systématiquement une approbation vague par une dénégation floue..
gAZi bORAt