Gül,
Merci pour cet encouragement et de me donner l’envie d’aller plus loin.
J’aurai gagner mon « procès » si quelques uns d’entre vous se procurent cet Atlas.
Comme Finael, j’aime beaucoup l’histoire. Peut-être moins savant que lui. Cette passion est plus récente et n’a pas été formée et incitée, je dois bien le dire, par mes profs d’histoire de l’époque. Trop attachés, eux, aux dates sans extrapolation. La petite histoire de la Grande, qui va jusqu’à l’anecdote, est tout aussi intéressante. Lire tout au fil du temps, je rattrape le temps « perdu », enfin, trop orienté vers une seule source professionnelle. Il faut beaucoup de temps et de passion
Comme je le disais plus haut, l’histoire tourne souvent en boucle et s’auto-alimente par la politique. La dernière en date, c’est évidemment Israël et la Palestine. Le chapitres des diasporas sont multiples en rebondissements. Kurdes, Arméniens... ne font pas l’actualité et someillent. Jusque quand ?
Je sens chez vous une envie d’aller au fond des choses. Pourquoi ne vous lanceriez-vous sur un des chapitres ?