cassez vous…
Les lois internationales sont faites pour celles et
ceux qui souhaitent les lire.
La lecture étant une activité obsolète et
obscurantiste, les téléspectateurs prônent le zapping diplomatique comme
solution de lascivité, en fonction de l’insignifiance du pays à détrousser.
À trop confondre Quai d’Orsay et équipe
rédactionnelle, les instigateurs deviennent les commentateurs et inversement.
Les belligérants en temps de paix se doivent de
rentabiliser les phobies globales et marquètent les stéréotypes ethnocentrés
afin de garantir une animosité permanente chez les électeurs bipolaires et les
réservistes de canapé.
De ce fait, il n’y a qu’un pas entre la guerre des mots
et les maux de la guerre.
La justice, à présent, est une affaire strictement
publique où les tribunaux servent de décor.
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http://souklaye.wordpress.com/2009/03/09/viol-public-et-droit-d’ingerence/