Il faut savoir qu’après diffusion des produits chimiques à travers le monde entier, les USA les interdisent sur leur territoire. EX :
Le chlordécone a pollué toutes les Antilles. Les plantations
de bananes étant situées en amont des terres agricoles, il a
contaminé les cultures de patates douces en aval, puis l’eau des
rivières et leurs élevages d’écrevisses, les crabes en bord de
mer, les bovins, le lait de vache, jusqu’au sang de 90 % des
femmes enceintes. Seules les bananes - sauf à en déguster la peau -
échappent à cette contamination. (in Libération, 30 Août).
Voici par quel procédé technico-légal ils imposent leurs produits finis et matières premières :
« La
société Red Bull a introduit un contentieux devant le Conseil
d’Etat, fondé sur le décret n°2006-1684 du 16 octobre 2006,
qui prévoit, conformément au droit européen, qu’un produit qui
circule légalement dans un Etat membre ne peut être interdit par un
autre Etat membre que si ce dernier apporte la preuve de sa
nocivité. »
Pendant ce temps là, un petit bonhomme nullement soutenu par campagnes médiatiques, défie toutes les promesses des gros laboratoires agrico-chimiques...
http://www.letransmuteur.net/l-homme-qui-parle-avec-les-plantes/
« Quand je suis allé concourir avec 153 ingénieurs de
l’administration agricole à Mexico, je les ai battu de 2.000% avec les
choux. 110 tonnes à l’hectare : la vérification a été faite par leurs
soins, ils n’ont même pas atteint 6 tonnes ! »
Le miracle, c’est Don José Carmen Garcia Martinez qui, avec son amour
pour les plantes, les paroles qu’il leur adresse et d’anciennes
recettes aztèques, a réussi à cultiver des légumes géants. Il a produit
ainsi des choux de 45 kg, des pieds de maïs de 5 m. de haut, des
feuilles de blette de 1,5 m. de long, 7 à 8 courges par pied (1 à 2
habituellement), 110 tonnes d’oignons par hectare (16 tonnes
normalement). Un journaliste péruvien, Yvo Perez Barreto, est allé
trouver Don Carmen chez lui et a raconté tout ce qu’il y a vu. Mais ce
n’est pas le seul témoin : l’Université d’agronomie de Chapingo
(Mexique), sous l’autorité du Pr Nicolas Cerda, spécialiste des sols, a
comparé les résultats de Don Carmen avec ceux obtenus par les méthodes
de l’Université sur des terrains contigus. Des ingénieurs du Ministère
de l’agriculture mexicain sont venus analyser l’eau, les légumes, les
semences et surtout le terrain volcanique de l’agriculteur. Rien de
particulier n’a été décelé. Parmi les savoir-faire de Don Carmen, on
note : cultiver sans pesticides et multiplier jusqu’à dix fois la
production agricole ; utiliser 700 g de fertilisant par hectare, au lieu
des 500 kg habituels dans l’agriculture intensive ; cultiver sur terres
salées ; créer de nouvelles plantes résistant aux maladies, non
transgéniques… au début, sur sa terre presque stérile, il s’asseyait à
côté des plantes et leur demandait de l’aider. Don José Carmen est
persuadé que c’est grâce à la communication qu’il a établie mentalement
avec les plantes qu’il a obtenu ces résultats miraculeux. Pour lui, le
secret c’est l’amour qui lui donne cette main verte. Son livre (1)
donne des tas de recettes, de trucs, qui pourraient révolutionner la
planète, tout en changeant la mentalité humaine : l’amour à la place du
profit immédiat.