Le chat, je t’aime bien, mais tu m’énerves. Tu arrives à placer des images, moi pas.
Si j’étais chien, je comprendrais ! Je suis toutou à ta disposition pour un coup de patte dans non jardin de l’inculture informatique.
Tu vois, je ne suis pas un raciste animalier. J’aime même les veaux qui broutent le foin de la discorde. J’ai de l’epene pour les racistes. Ils doivent être bien malheureux, pour être si agressifs.
Bien à toi.